Gates, Soros, Rockefeller, Buffet, Bezos : l’idéologie néo-malthusienne des élites globalistes

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Par Pierre-Antoine Plaquevent

Ebook en plusieurs parties à découvrir en exclusivité sur strategika.fr

Quel est le point commun entre les plus riches et influents acteurs du philanthrocapitalisme contemporain : Bill Gates, George Soros, Ted Turner, Warren Buffet, Jeff Bezos ; des hommes d’influence tels que : Henry Kissinger (que Klaus Schwab considère comme son inspirateur) ou David Rockefeller (1915 – 2017 – cofondateur du club Bilderberg et de la Commission Trilatérale) ; des membres de la famille royale britannique comme le prince Philip (président émérite du WWF) et le prince Charles ; ou bien encore des militants écologistes médiatisés comme Greta Thurnberg et Paul Watson (le président de Sea Shepherd) ?

Tous partagent une idéologie commune qui guide leurs actions et leurs agendas politiques respectifs : l’idéologie de la dépopulation.  

Cette idéologie constitue une dimension fondamentale du projet globalitaire (globaliste et totalitaire) : le projet de réduction drastique de la population mondiale. Une perspective qui éclaire les questions sanitaires et médicales telles qu’elles sont instrumentées à la faveur de l’opération Covid-19.

Cette entreprise de décroissance forcée de la population mondiale est portée par l’ensemble de l’élite globaliste et mise en place par les principaux organes de la gouvernance mondiale. Elle avance par étapes depuis le siècle dernier mais plonge ses racines plus loin encore dans l’Histoire. Cette idéologie dénataliste transcende les clivages politiques et constitue l’essence du projet de domination des élites mondialistes depuis plusieurs générations. Elites qui transmettent cette vision du monde en héritage au sein de lignées constituées en véritables aristocraties financières contemporaines. Des aristocraties autoproclamées et dévoyées qui considèrent les peuples comme des stocks de population qu’il convient de gérer à la manière de n’importe quelle autre ressource naturelle à leur disposition. Des populations qu’il convient de ne pas laisser se développer et croître naturellement afin qu’elles ne débordent pas à terme l’oligarchie mondialiste et surtout, afin que les peuples ne génèrent pas d’eux-mêmes leurs propres élites légitimes et souveraines.

Une idéologie catastrophiste aux relents de millénarisme qui instrumentalise les questions écologiques et qui, loin de les régler, les manipule afin d’élaborer l’idée d’un péril global qui menacerait toute l’humanité : le changement climatique. Un péril planétaire qui vient renforcer la nécessité d’une gouvernance mondiale. Ce changement climatique devient ici l’ultime avatar des ennemis ontologiques de l’humanité qui se succèdent depuis 1945 dans le discours globaliste. Un ennemi universel qui nécessite une solution universelle : l’unification politique du genre humain et sa réduction de plusieurs milliards d’individus en quelques décennies. Il est de fait logique pour une élite porteuse d’un projet mondial de vouloir réduire la masse critique du corps politique qu’elle entend diriger. Le discours et le projet de réduction de la population mondiale constitue ainsi un élément cardinal et axiale du projet cosmopolitique contemporain. Un discours dans lequel l’humanité est perçue et présentée comme un tout dans lequel les différences politiques et identitaires doivent disparaitre afin d’être fondues en un ensemble unique et ubique. Comme dans le discours dominant sur les questions migratoires, l’humanité réelle doit se plier à l’humanité idéale imaginée et conçue par l’ingénierie sociale, écologique et sanitaire de nos planificateurs métapolitiques globalistes.

Nous allons voir au fil de cette étude en plusieurs parties que l’élite de la gouvernance globale n’a de cesse depuis des décennies de tenter de réduire la croissance démographique planétaire à un niveau proche de zéro au même titre que la fameuse “empreinte carbone”. Un pari fou et difficilement réalisable mais qui est clairement exposé par les décideurs actuels les plus influents.

Pierre-Antoine Plaquevent pour strategika.fr

Dossier de 18 pages et 60 000 signes.

Table des matières :

  • Réduire la population mondiale et son emprunte carbone par la planification familiale et la vaccination de masse
  • Réduire la population mondiale pour « sauver la planète »
  • Le consensus des élites en faveur de la décroissance démographique
  • Le WWF, le club Bilderberg et le « gibier » humain à réguler
  • Un gouvernement mondial pour contrer la bombe démographique

Le 15 mai 2009, se réunissait à New-York un groupe restreint de milliardaires parmi les plus influents afin de débattre des « problèmes de la planète » selon l’expression consacrée. Parmi ceux-ci on retrouvait : Bill Gates, George Soros, Warren Buffett, David Rockefeller, Ted Turner et Oprah Winfrey. Mais aussi d’autres personnalités moins connues du grand public francophone comme le couple d’affairistes Eli et Edythe Broad[1]. Tous adeptes de la philanthropie financière et de l’investissement dans des causes ou organisations non gouvernementales. Organisée par David Rockefeller, Gates et Buffet, cette réunion se voulait être une réponse au « ralentissement économique mondial et aux nombreuses crises sanitaires et environnementales qui sévissent dans le monde »[2]. Ian Wilhelm, spécialiste américain des milieux adeptes du « philanthrocapitalisme » commentait ainsi cette réunion : « C’est vraiment sans précédent. C’est la première fois qu’un groupe de donateurs d’un tel niveau de richesse se réunit comme cela à huis clos dans ce qui est par essence un club de milliardaires »[3]. Modestement dénommé « the Good Club », ce « bon club » voire ce « club du bien » réunissait des investisseurs / donateurs qui cumulaient déjà à l’époque plus de 125 milliards de dollars[4] et aujourd’hui beaucoup plus. De quoi exercer une influence à une échelle encore inédite pour des acteurs non gouvernementaux.

Le format de la réunion fût l’occasion pour chacun des membres présents d’exposer une synthèse de ses vues : « pendant six heures, les milliardaires réunis ont discuté des crises auxquelles le monde est confronté. Chacun a pu s’exprimer pendant 15 minutes. Les sujets abordés ont porté sur l’éducation, l’aide d’urgence, la réforme des gouvernements, la profondeur prévue de la crise économique et les problèmes de santé mondiaux tels que la surpopulation et la maladie. »[5]

Au terme de cette réunion, les participants du « Good Club » décidèrent de faire de la surpopulation la thématique centrale de leurs préoccupations communes : « s’inspirant de Gates, ils ont convenu que la surpopulation était une priorité. »[6] (…)


16 pensées sur “Gates, Soros, Rockefeller, Buffet, Bezos : l’idéologie néo-malthusienne des élites globalistes

  • Ping :PLANDEMIE – Gates, Soros, Rockefeller, Buffet, Bezos : l’idéologie néo-malthusienne des élites globalistes | Olivier Demeulenaere – Regards sur l'économie

  • 6 février 2021 à 18 h 22 min
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    certains architectes divinisent la portée de leur action. Ils ont cependant besoin de nous la transmettre, parfois et bien souvent de nous l’expliquer pour rendre notre consentement plus docile. Imaginons que nous propageons dans la population française l’idée de se débarrasser de la télé et d’arrêter de lire les journaux inféodés aux élites. Imaginons que plus aucun journal ne sera plus acheté et qu’aucun journal télé ne sera visionné. Que ce passera t-il ? sans doute l’émergence d’une pensée libre qu’ils tenteront de contrôler, de diaboliser et de contredire. De cette masse humaine désormais libre émergera une pensée collective représentée dans des hommes libres. C’est vers cela que nous devons aller si nous ne voulons pas finir comme esclaves. Bien le bonsoir

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  • 30 septembre 2021 à 8 h 40 min
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    « l’idéologie néo-malthusienne des élites globalistes », ça c’est le coté pile.
    La domination de l’humanité par toutes sortes d’idéologies n’est pas nouvelle, et les personnes qui en sont à l’origine jalonnent l’histoire.
    Cependant, comment expliquer qu’un petit nombre d’individus puissent arriver à en dominer un si grand nombre ? Voyons donc le côté face.
    Dans son « Discours de la servitude volontaire », Etienne de la Boétie dit ceci :
    Les gouvernants ont plutôt tendance à se distinguer par leur impéritie (c’est-à-dire par leur incompétence dans la profession ou plus souvent dans la fonction qu’ils exercent). C’est le peuple qui s’asservit, qui se coupe la gorge, qui, ayant le choix ou d’être serf ou d’être libre, quitte la franchise et prend le joug, qui consent à son mal. Plus que la peur de la sanction, c’est d’abord l’habitude qu’a le peuple de la servitude qui explique que la domination du maître perdure. Ensuite viennent la religion et les superstitions. Mais ces deux moyens ne permettent de dominer que les ignorants. Vient le « secret de toute domination » : faire participer les dominés à leur domination… Les théâtres, les jeux, les farces, les spectacles, les gladiateurs, les bêtes curieuses, les médailles, les tableaux et autres drogues de cette espèce étaient pour les anciens peuples les appâts de la servitude, la compensation de leur liberté ravie, les instruments de la tyrannie.
    Récemment, dans un court texte titré « L’enjeu métaphysique et spirituel d’un juste combat », Jacqueline Kelen fait remarquer combien est intéressante cette expression de « pass sanitaire » émanant des zélateurs de la novlangue. Il s’agit, dit-elle, d’un « certificat de conformité et de docilité » qui ouvre les portes d’un paradis mirifique, fait de cafés et de restaurants, cinémas, discothèques, piscines et parcs d’attractions, etc. Bref, tout ce qui se consomme et fait plaisir immédiatement, tout ce qui « divertit » au sens pascalien, rapporte de gros sous au système et fait tourner la machine sans âme.
    E. de la Boétie et J. Kelen, à 500 ans d’intervale, parlent donc d’un même appâts de la servitude. Et si les « divertissements » ont un peu évolué, par contre ils s’adressent toujours et exclusivement au niveau, si l’on peut dire, des faiblesses et des vulgarités de la pure sensation.
    Tous les systèmes de gouvernement ou les idéologies seraient bons si l’homme était meilleur ou plus intelligent. Mais il faut qu’il soit extrêmement intelligent pour être à peu près bon. La clef de tous les malheurs des peuples, c’est leur stupidité. Toutes les explications politiques ou économiques ne sont que des ornements littéraires autour de cette stupidité foncière, à peu près incurable et qui ne s’est pas sensiblement amendée depuis les temps historiques. L’humanité ne semble pas menée par la raison, ni même par le sentiment, mais par des forces étrangères et inconnues. La stupidité de « Démos » semble, en ce moment, très nettement infra-humaine. Peut-être subit-elle l’influence de certains climats cosmiques, de certaines zones éthériques qu’elle traverse au cours de son voyage dans l’espace et le temps ? Elle n’a en propre que sa stupidité collective qui l’empêche toujours de suivre les avertissements de ceux qui, instinctivement ou intelligemment, entrevoient où ces forces la mènent.
    Origine de la stupidité :
    https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/psychologieetloidessexes.html

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  • 12 octobre 2021 à 16 h 32 min
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    Tiens voilà une photo ou manque une tête, celui du Klaus Schwab ! Avec lui en plus on pourrais dire le dragon à 7 tête !

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  • Ping :Terreur climatique : vers des confinements les jours de pic de pollution ? - Strategika

  • Ping :Gates, Soros, Rockefeller, Buffet, Bezos : l’idéologie néo-malthusienne des élites globalistes – PAGE GAULLISTE DE RéINFORMATION . Les médias nous manipulent et nous mentent, sachons trier le bon grain de l ivraie

  • 27 octobre 2021 à 8 h 14 min
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    Ce qu’on appelle le Nouvel Ordre Mondial n’est ni plus ni moins qu’une simple organisation mafieuse à l’échelon planétaire, et composée principalement de banques et de multinationales.
    L’énorme pouvoir des banquiers est lié à la gestion exclusive qu’ils ont de l’économie via le contrôle des monnaies. Ils ont, peu à peu, établi un système de prédation capitalistique qui, à son tour, leur a permis de prendre le contrôle du phénomène politique, par la corruption ou l’intimidation, organisant en conséquence un système législatif qui leur soit de plus en plus favorable. L’exemple de la BRI (Banque des Règlements Internationaux) qui est une institution financière dotée de la totalité des prérogatives diplomatiques d’un État, bénéficie de tout les privilèges, notamment en matière d’immunité de ses membres, et ne rend de compte à personne. La BRI a été créée au tout début des années 1920 par une initiative de Haljmar Schacht (qui était alors un fonctionnaire subalterne auprès de l’autorité bancaire allemande créée par les alliés à l’issue de la 1ère guerre mondiale), Norman Montagu (gouverneur de la banque centrale d’Angleterre), J-P Morgan et leur intermédiaire commun John Foster Dulles. Concrètement, sans la BRI, l’Allemagne nazie n’aurait jamais pu financer ses préparatifs de guerre. La BRI a ainsi été la principale machine ouvrière de la 2ème guerre mondiale. Faire disparaître la prétendue indépendance et intégrité de la BRI, ainsi que de tous les paradis fiscaux de la planète, serait simple à mettre en œuvre : il suffirait qu’un ou plusieurs États envoient des corps militaires à l’assaut de cette forteresse financière pour qu’il n’en reste rien. Nous sommes aujourd’hui arrivés, avec l’avènement des institutions dites européennes, au point culminant qui consiste en l’institutionnalisation du « phénomène économique » en lieu et place du « phénomène politique ». La mise en concurence économique et juridique des États est en réalité une façon judicieuse d’imposer aux États l’intérêt, bien compris, des multinationales. La concurrence est, en réalité, le moyen technique d’imposer la loi du plus fort. En l’occurence, il s’agit du plus fort sous le prisme économique et capitalistique, ce plus fort étant chapeauté par l’anonymat. Peu importe que ce plus fort soit un terroriste, un assassin, un voleur et un menteur, car il est, de toute façon, anonyme. L’histoire démontre largement que les différentes « qualités » que sont l’aptitude au mensonge, l’absence d’état d’âme, l’absence de toute empathie et bienveillance vis-à-vis de la vie, la volonté hégémonique de prédation… sont précisément celles qui définissent le « plus fort économiquement ». Ce que les banquiers oublient vraisemblablement est une autre loi intangible de l’humanité : la loi du talion. Rien ne leur assure, à priori, que les souffrances qu’ils auront infligées aux peuples au travers des âges ne se retourneront pas contre eux, le jour où lesdits peuples les auront identifiés comme leur seul « ennemi » réel. Il n’existe pas de moyen, pour les plus gros détenteurs de capitaux, de s’assurer à l’aide d’un quelconque produit dérivé, contre un éventuel retour de « FLAMMES » que leur outrecuidance et leur violence auront provoqué.
    Lien : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/plusunenfantconnaitsamereplusillaime.html

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  • 7 novembre 2021 à 8 h 53 min
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    Georges Marchais appelait lui aussi dans un discours à l’économie mondiale et à la gouvernance mondiale… Un curieux alignement des planètes repris de plus bel par nos cocos de salon et généralement, parfaitement placé au plus près du DAB de la Gueuse. Le hazard.. surement.

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  • Ping :Ecologie, vaccin et dépeuplement : En France, le nombre de personnes vaccinées admises en soins intensifs pour cause de Covid-19 est désormais officiellement supérieur au nombre de personnes non-vaccinées… Malgré cela, la folle cour

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  • 20 janvier 2022 à 10 h 45 min
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    a lire absolument: par l’éminent John Kenneth Galbraith: une vue anglophone maritime de Keynes:
    “la paix indésirable ?” Tous les senarii y sont envisagés pour remplacer le mode de gouvernance par la guerre.
    Galbraith a déclaré que tout le monde croit que c’est la corruption des politiques par les corporations qui est le moteur du système. Mais le réel premier moteur a toujours été l’ “allégeance” de la population envers son gouvernement. Le meilleur moyen de l’obtenir a toujours été la peur d’un ennemi. L’escalade nucléaire en pleine guerre froide conduit JF K a demander une étude à J.K. Galbraith. Le système de guerre peut-il être remplacé par une autre forme d’ennemi à inventer: dans l’espace, les émeutiers dans les banlieues, la pollution majeure, pandémie, etc… (effet troupeau se réfugiant derrière le chef).
    Etude d’actualité brûlante: plus d’ennemi dans des guerres chaudes, remplacées par un nouvel ennemi ? Un virus peut-être…
    Vue depuis un pouvoir dominant le sommet de la pyramide, une entité peut-elle être dirigée autrement que par la peur ?
    L’histoire monterait le contraire selon Galbraith, sans domination effective d’une autorité, c’est le chaos…
    La verticalité du pouvoir en est le garant.

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  • 23 mars 2022 à 17 h 22 min
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    “Idéologie néo-malthusienne des élites globalistes” de l’auteur ou bien, messianisme judéo-sioniste génocidaire, plus vraisemblablement ? Pourquoi noyer un fait général – la volonté judéo-sioniste de dépopulation massive – dans une des ses facettes très particulière (un rapprochement intellectueliste au forceps avec une théorie qu’on voudrait dépoussiérer et remettre d’actualité ? Appelons simplement les choses par leur nom…

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