Convoi de la Liberté : le risque d’une révolution colorée ?
Au-delà du détournement narratif et de son instrumentalisation aisée par le pouvoir, c’est la stratégie de blocage qui s’avère risquée.
Lire la suiteAu-delà du détournement narratif et de son instrumentalisation aisée par le pouvoir, c’est la stratégie de blocage qui s’avère risquée.
Lire la suiteLe taux d’approbation du président Biden, chouchou des grands médias occidentaux (donc européens et français), a chuté de manière régulière sans rebond significatif. Il atteint aujourd’hui un plus bas à moins de 40 %d’approbation, jamais atteint dans l’histoire US à ce stade d’un premier mandat présidentiel.
Lire la suite« Après avoir pris ainsi tour à tour dans ses puissantes mains chaque individu, et l’avoir pétri à sa guise, le souverain étend ses bras sur la société tout entière ; il en couvre la surface d’un réseau de petites règles compliquées, minutieuses et uniformes, à travers lesquelles les esprits les plus originaux et les âmes les plus vigoureuses ne sauraient se faire jour pour dépasser la foule ; il ne brise pas les volontés, mais il les amollit, les plie et les dirige ; il force rarement d’agir, mais il s’oppose sans cesse à ce qu’on agisse ; il ne détruit point, il empêche de naître ; il ne tyrannise point, il gêne, il comprime, il énerve, il éteint, il hébète, et il réduit enfin chaque nation à n’être plus qu’un troupeau d’animaux timides et industrieux, dont le gouvernement est le berger. »
Lire la suiteLa classe bobo des cadres et des professions libérales, des pléthoriques fonctionnaires municipaux et des commissaires de la cybernétique, avec son arrogance, sa tartuferie, sa sous-culture, est insupportable. Et elle tient le coup parce que sa presse est subventionnée par le pouvoir et donc par nos impôts.
Lire la suiteLe milliardaire nonagénaire s’engage à verser 125 millions de dollars – une somme énorme et sans précédent (même pour Soros) – pour aider les démocrates à remporter le plus grand nombre possible d’échéances électorales comme au Congrès en novembre, et au-delà.
Lire la suiteLes élites politiques se foutent du peuple, marchent sur ses brisées, privatisent, remplacent, démoralisent, dénationalisent le pays, se vendent au plus offrant international et imposent le diktat planétaire de Klaus Schwab et de son inquiétante ingénierie germanique, qui fait penser à Jules Verne (les 500 millions). Oncle Klaus me fait penser au monstre mort de Totenkopf dans le très bon film Sky captain et le monde de demain. Je rappelle que le meilleur épisode du Captain America évoque le projet Hydra : faire peur pour soumettre. Et ce qui n’a pas marché avec le 11 septembre marche merveilleusement avec le virus. La monarchie absolue se créa avec l’hôpital et le jésuitisme, nous le savons avec Foucault. Le fascisme global des hommes de Davos s’imposera avec le super-hôpital-prison planétaire et avec notre numérisation apocalyptique. Car le destin du spectacle (la démocratie libérale avancée), disait Debord, n’est pas de finir en despotisme éclairé.
Lire la suiteCe qui vient d’arriver – c’est-à-dire, d’un point de vue sanitaire : pratiquement rien ; et, d’un point de vue politique : la fin d’un monde, qui était à la fois celui de la rationalité calculante, de l’universalisme démocratique et du droit afférent à ce dernier – la fin de l’Occident.
Lire la suiteUn vaccin peut-il être employé à d’autres fins que celle de contrer une maladie infectieuse ? Un vaccin peut-il dissimuler une technologie biologique visant des fins inverses de celles de la prophylaxie et de la prévention sanitaire ? Un vaccin peut-il être employé à des fins de stérilisations des populations à leur insu ?
Lire la suiteLe monde de Molière est un monde bourgeois, et c’est déjà le nôtre : on n’y parle que d’argent, de manières branchées, mariage intéressé, et bien sûr de la santé. On ne croit plus en Dieu mais on ne veut plus mourir ! On n’aime pas sa femme mais on ne veut pas vivre seul ! On comprend pourquoi plus nous dégénérons plus nous nous reconnaissons dans ce théâtre de la Fin.
Lire la suiteLes institutions françaises sont faussement démocratiques car adossées à une prétendue « représentation du peuple » par des « élus » aux seuls services des financiers qui permettent à leur parti politique de les présenter aux élections. Au surplus, la prétendue séparation des pouvoirs, qui se garde bien de mentionner le seul moyen du pouvoir, celui de la création monétaire (laquelle est intégralement contrôlée par les banquiers privés) n’a jamais été pertinente.
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